Stéphanie Perreault : une plume captivante et attachante

 

Les filles de Wakefield, tome 1, Carole-Anne

Je viens de terminer ce petit roman empreint de douceur et écrit avec une grande délicatesse. Jean Landry héritera de la maison de son oncle, mais le nom de Landry est à éviter dans la paroisse. Pour l’aider à se faire accepter par les autres villageois, ses voisins, à qui il a sauvé la mère Providence d’une mort certaine, le rebaptiseront Ste-Croix. La mère Providence qui est veuve vit avec son père et ses 2 filles. Carole-Anne et Esther ! Dès que Ste-Croix aura passé le seuil de la maison, il sera attiré vers Carole-Anne ! Le grand-père de Carole-Anne espère bien avoir un petit-fils avant de mourir pour continuer la génération, alors, il fera tout pour que Ste-Croix ait une maison qui a de l’allure pour que son rêve se réalise peut-être. Mais, malheureusement, Ste-Croix a promis à son patron d’aller l’aider à bûcher encore un autre hiver. C’est le cœur lourd que Carole-Anne le voit partir. Voyant revenir les autres bûcherons au printemps, elle désespère de plus en plus de ne pas voir revenir celui qui fait battre son cœur. Qu’est-ce qu’il a bien pu lui arriver pour qu’il retarde son retour autant? C’est ce que vous découvrirez en lisant ce roman que j’ai dévoré ! Stéphanie Perreault décrit très bien le travail que les hommes, au 19e siècle, abattaient pour survivre. L’entraide était primordiale pour tous ceux qui voulaient survivre l’hiver. Avec un langage très québécois, j’ai lu le livre d’un bout à l’autre sans m’arrêter. Stéphanie Perreault a réussi à me faire passer un très bon moment de lecture tout en me faisant voyager dans le passé ! Je vais attendre la suite avec impatience !

Résumé :
À la fin du 19e siècle, le village de Wakefield, au Québec, dort paisiblement sous son manteau de neige. Bravant le vent et le froid, un nouvel arrivant, Jean Landry, vient s’installer. On le fuit et sa terre est en ruines ; il ne comprend rien à ce qui lui arrive. Une nuit, son sort vient à changer alors qu’il se porte au secours de sa voisine, la Providence, mère de Carole-Anne et d’Esther. Rebaptisé Sainte-Croix, il se trace un chemin dans le coeur des Providence, particulièrement dans celui de la jolie et avenante Carole-Anne. Alors que chacun croit avoir trouvé en lui un ami, un fils, un frère, un fiancé, Sainte-Croix doit retourner pour une dernière saison dans les bois. Or, son retour se fait de plus en plus tardif et les filles de Wakefield doivent combler l’attente… Leur reviendra-t-il ?

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Les filles de Wakefield, tome 2, Amandine

Je viens à peine de terminer cet excellent roman que j’aimerais enchaîner tout de suite avec la suite. Carole-Anne est maintenant mariée et mère de famille. Tout va pour le mieux pour elle. Esther pour sa part a décidé de rejoindre la congrégation des Sœurs Grises. Son besoin d’aider les plus démunis sera mis à contribution lorsqu’un feu détruira une partie de la ville de Hull. Les Providence recueilleront Amandine, une jeune mère de famille dont l’époux a disparu dans les flammes. Ensemble, ils vont l’aider à se relever de ses malheurs, mais… Je ne peux pas vous en dire plus. Pour tout savoir, il va vous falloir lire ce fabuleux roman. Encore une fois, je l’ai dévoré ! J’adore lire et Stéphanie Perreault a vraiment réussi à me faire évader de mon quotidien, le temps de ma lecture, une plume captivante et attachante. Une histoire très bien construite avec des personnages super attachants. Quoi demander de mieux pour une évasion complète. Un excellent roman et une excellente auteure que je vous recommande sans hésitation.

Résumé :
Wakefield, un petit village du Québec niché dans les montagnes de la Gatineau, a vu le 20e siècle débuter. Les filles Providence, Carole-Anne et Esther, ont toutes deux trouvé leurs voies. Alors que Carole-Anne demeure à la ferme familiale, Esther s’est éloignée du nid afin de dédier sa vie à aider autrui. La vie religieuse lui semble la bonne avenue pour vivre sa vocation.

Alors qu’elle est au Couvent de Hull et s’apprête à prononcer ses voeux, un lourd nuage pèse sur la ville. En cet après-midi du 26 avril 1900, Hull connaît le plus grand incendie de son histoire. Dans son commerce du centre-ville, Amandine Allard rassemble courageusement ses enfants autour d’elle, puis voit son mari disparaître dans les flammes. Réalisant qu’elle a tout perdu, Amandine se résout à tout rebâtir et à devenir, elle aussi, une fille de Wakefield.

 

Céline Boisjoly écrit pour le Service de presse canadien du blog Les mille et une pages de L. M.

http://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/search/Les%20filles%20de%20wakefield/

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